Texte récupéré
Auteur?
[BG ville] Karasa', '[b:c803a0600e][color=darkblue:c803a0600e]Karasa :[/color:c803a0600e][/b:c803a0600e]
Karasa est une ville relativement récente, édifiée en 1189 (il y a de cela 48 ans) par une tribu nomade de l\'île des 5 sages.
A l\'époque, le naib de la tribu nomade issue de la ville n\'était autre que le sage de Karasa.
Cet homme vigoureux et fort de ses expériences dans le désert était un parfait naïb. Amical et posé, il se passionnait pour les races de Vesperae et souhaitait en découvrir toujours plus grâce à ses voyages.
Sentant son âge rattraper sa vigueur, le sage décida de chercher un lieu où vivre, lui et sa caravane.
La tribu s\'installa aux abords d\'une Oasis paisible, non loin des montagnes de l\'île.
Le sage installa d\'abord sa tente le long de la montagne, avoisinant un étrange rocher semblable à une tête de squelette.
Le sage s\'amusait de ce rocher lugubre et lui conférait de longues légendes.
Lentement les caravaniers s\'installèrent aux alentours de la tente du Naïb.
Après trois années de vie paisible les habitants de l\'Oasis devenue hameau, décidèrent de construire un puit.
La construction fût rapide et les habitants se ravirent de l\'édification du puit.
Lieu de discussions et d\'animation, le puit devint un lieu incoutournable pour les quelques habitants.
Le hameau devenu petit village nécéssitait un nom, c\'était indéniable.
Les habitants, réunis autour du puit, cherchèrent longtemps un nom pour leur coin de paradis.
Situé à quelques pas de la mer, au pied de la montagne...Le nom de la ville serait Karasa.
Dans la vieille langue Nomade, Karasa signifiait \"Le puit de la montagne\".
Les habitants se perfectionnèrent dans leur art, chacun permettant au village de se développer.
Depuis l\'étrange mort du sage de Karasa (retrouvé dans sa tente écrasé par son globe de Vesperae), Karasiens avaient élu un nouveau chef. Plus jeune et plus dynamique que le précédent.
Il fonda une salle d\'entrainement, où les hommes et leurs fils purent apprendre l\'art du combat. Ils s\'améliorèrent dans la chasse.
Les qualités de chacun des habitant permit au village de devenir reconnu de l\'île des 5 sages.
Karasa vit désormais de son commerce avec la ville d\'Oxoroc, ainsi que de la chasse.
Et bien évidemment Karasa vit par le puit, empli de l\'espoir des anciens, vivant par le soin des jeunes.
[b:c803a0600e][color=darkblue:c803a0600e]Les habitants :(11 png + le sage)[/color:c803a0600e][/b:c803a0600e]
Les Karasiens sont des gens simples qui ne cherchent pas les ennuis. Leur souci principal est l\'entretien du puit, ainsi que se protéger des tempêtes de sable qui sont monnaie courrante sur l\'île.
-Les femmes réalisent de sublimes tapis qu\'elles revendent ensuite au marché d\'Oxoroc (la plus grande ville de l\'île).
-Un forgeron quelque peu crapuleux s\'installa en tant que marchand d\'armes dans la ville. Parlant d\'un accent du nord de l\'île, il est facilement reconnaissable.
-L\'ancien du village est d\'après les habitants, quelque peu atteind par le soleil du désert. Le vieil homme raconte aux visiteurs que la salle d\'entrainement du village n\'est autre que l\'Arène d\'Oxoroc.
-Les enfants ont peu de temps pour jouer, si ce n\'est pas du tout. Leur souci principal leur a été instruit par leurs parents : \"il est important de survivre\" leur répètent-ils sans cesse.
Les jeunes filles apprennent dès leur plus jeune âge à porter les jarres d\'eau sur le sommet de leur tête. L\'eau étant le bien précieux du village, il est important de savoir l\'utiliser avec précautions.
- Il est habituel chez les hommes de prêter ou échanger leurs femmes. C\'est une coutume de l\'île existant depuis des temps anciens.
- Le vieu sage aujourd\'hui décédé a fondé la ville, et vécu de nombreuses aventures pour la protection de la germe qui devint un jour la fleur Karasa.
[b:c803a0600e][color=darkblue:c803a0600e]Les habitations :[/color:c803a0600e][/b:c803a0600e]
-L\'Arène de Karasa : appelée Arène d\'Oxoroc par l\'ancien du village, l\'arène fut fondée dans le but d\'entrainer les Karasiens au combat et leur apprendre l\'art de la chasse.
-Le temple de Karasa : Une puissante aura entoure le temple. Les habitants anciens ont prêté leurs forces à ce lieu de culte afin de le protéger des intempéries et des maux du désert. Personne ne doit troubler la paix du temple. Il est rare qu\'un étranger puisse ne serait-ce que regarder à l\'intérieur du temple. Pour cette raison personne ne sait quel dieu est vénéré par les Karasiens. Cela restera un secret connu d\'eux seuls.
-L\'auberge de Karasa : Constituée d\'une seule et unique chambre, l\'auberge de Karasa a ce caractère typique et chaleureux que recherchent les voyageurs en quète d\'aventure. Le vieil homme tenancier de l\'auberge loue sa chambre pour la nuit à 15po, un prix fort abordable pour toute personne souhaitant séjourner dans le village.
-Les habitations principales sont habitées par des familles nombreuses. Généralement peu meublées, les seuls véritables meubles de ces maisons sont les lits (parfois de simple hamac suspendus) et les nombreux paniers de provisions posés çà et là sur le sol.
Une maison en ruine repose discrètement au fond de la ville. Elle fût abandonnée par une ancienne famille de Karasa qui parti s\'installer à Oxoroc dans le but d\'améliorer son commerce.
-La seule boutique de la ville est tenue par un Karasien originaire du nord de l\'île. Installé dans la ville depuis presque 20ans, il n\'a cependant rien perdu de son language et de ses habitudes de commerce. Il aime marchander avec ses clients, ce qui n\'est pas forcément positif pour eux.
-Le puit est un lieu de réunion depuis sa fondation. Chaque matin, lorsque l\'aurore touche la cîme des dunes, les villageois se réunissent et conversent sur le passé, le présent et le futur.
-La tente du sage est aujourd\'hui dite habitée par un fantôme. Depuis la mort du sage de Karasa, on entendrait souffler d\'étranges sons. Certains se persuadent que ce n\'est que le vent, qui passant entre les rocher, produit un son identique à la voix de l\'ancien sage.
Personne n\'a rien touché à l\'intérieur de la tente. Préférant laisser le sage reposer en paix dans sa demeure.